HORA D ‘HIER / HORA D ‘AUJOURD ‘HUI
Hora d’hier Hora d’aujourd’hui
La femme algérienne la Hora a joué un rôle imminent pendant la guerre de libération nationale :
Hora vous faire revivre l'action de cette moitié d'algériens oubliée, à travers cet édito.
Hier la femme Hora algérienne était les fidaiyates al horath, femmes qui ont menées des actions armées dans la guérilla urbaine, soit en transportant des armes sur le lieu même de l'attentat, soit en déposant des bombes. Le rôle décisif joué par ces femmes horath
ils y avaient Les maquisardes al horath, en rupture totale avec le mode de vie traditionnel, vivant aux côtés des maquisards, représentant 16% des militantes. Elles attirent tout particulièrement l'attention des médias et frappent l'imagination populaire.
Sans oublier Les moussebilates al horath ou résistantes civiles, elles sont mères ; épouses, sœurs. Leur fonction : agents de liaison, collecteurs de fonds, infirmières, secrétaires, couturières, profs. Femmes de ménages. Agents de renseignements, propagandistes mais leur activité essentielle est d'assurer l'hébergement et le ravitaillement des militants. À travers toute l'Algérie
nous n’oublions pas Les "pieds noirs" et européennes qui se sont engagées et donner de leurs vie pour la libération de notre beau pays l’Algérie
Notre mère l’Algérie n’oubli aucun sacrifice donnée de par tous ces enfants. Ce peuple vaillant et brave
Les femmes Horath d’aujourd’hui elles-mêmes des combattantes des Horath
Qui participent chaque jours, et donnent chaque heure de leurs vie pour l’épanouissement de notre belle Algérie et elles font aimée notre patrie a leurs enfants à nos enfants .elles sont les plus fidèles au serment de leurs ainées d’hier respects a toutes
L’appel de novembre est inscris dans nos cœurs et nos esprits pour toujours notre Algérie notre maman notre patrie
Gloire à nos martyres
Tahya al djazair
L’ÈDITORIAL
De Mr Fethy Mechetti le président fondateur et directeur de la rédaction
Hora magazine
2 commentaires
Allah yareham chouhada🇩🇿🇩🇿🇩🇿
Oui, chacune des femmes a pu laisser son emprunte à cette guerre.
M’a grand mère avait participé avec un simple geste, un vendredi elle a été au cimetière de Miramar. Une femme française habitante du quartier lui donner des vêtements militaires de son mari et elle lui a dit » attention il faut pas donner au fellaga » elle a répondu » oui bien sûr, jamais ».
Elle rentre à la maison et elle remet tout à son gendre, lui tout content…. C’est un cas parmi des milliers ou plus.
L’Algérie est libre grâce à tout le monde. Le but était est le même et l’union était présente. On devrait faire de même pour notre pays.