RSoirée Onirique de JEAN CLAUDE AUBRY
Retour en images sur la soirée
-JEAN CLAUDE AUBRY –
Au 07 Boulevard de Strasbourg 31100 Toulouse/France
HORA magazine a eu le privilège d’être aux côtés de Mlle Hyndia pour cette
Echappée Onirique
En présence de notre AMBASSADRICE de cet évent Mme Loubna El Mahmoudi
Présidente et Fondatrice de l’Association Women In Leadership
Fondatrice ELMA Agency et Ex-élue de la république française.
Toute l’équipe du salon ont été ravies de nous accueillir au salon de beauté (jean Claude aubry) à Toulouse pendant la soirée riche en convivialité et en technique artistiques !
En présence la talentueuse Nahema Abaroudi. Directrice Artistique du Groupe Jean Claude Aubry
cette soirée était une rencontre entre le grand public sous la signature française et internationale nommée jean Claude aubry qui lance des talents de ce métier artistique qui vivent de leurs passions
Alors on fonce sans tarder.
Pendant la soirée Hora mag a approché Mme Nahema Abaroudi.
Elle a répondu à nos questions
Qui est Nahema Abaroudi ?
1– Nahema Abaroudi. Directrice Artistique du Groupe Jean Claude Aubry et maman d'une fille de 21 ans.
Parlez-nous sur votre personne ?
2 – Un point qui me définit déjà un peu, qui donne une idée de ce que je suis, ce sont mes racines, mes origines. Imprégnées du Maroc et de la France, cette double culture se ressent forcément dans mes valeurs, ma vision de la vie..
Des choses essentielles que je m'évertue à transmettre à ma fille.
Vous vous êtes lancer dans le monde de la coiffure des seize ans racontez-nous cette belle expérience
3 – C'est un pur hasard si j'ai embrassé la carrière de coiffeuse. Il me fallait absolument travailler, pour des raisons familiales, la première porte que j'ai poussée pour poser ma candidature était celle d'un salon de coiffure.
On m'a dit OUI… si j'avais été dans un supermarché je serais peut-être devenu caissière ! Avant de peut-être diriger un jour le magasin ! (Rires)
Donc ce n'était ni une envie ni un rêve de ma part, seulement une porte ouverte pour moi vers une autonomie. Ma 1ère grande chance professionnelle a été celle de tomber sur une patronne qui m'a donné le goût du métier, qui m'a prise sous son aile, qui m'a dit que j'avais des qualités… Un regard bienveillant qui a contribué à me donner un peu de confiance en moi. Et on sait à quel point c'est essentiel pour se construire et avancer dans la vie.
Aujourd’hui vous est une figure majeure du groupe Jean Claude Aubry international Comme directrice artistique c’est une belle rencontre et une longue histoire, qui dure depuis 1992
Dite nous plus sur cette belle aventure
4– Juste après mon apprentissage, je commence comme assistante coiffeuse chez Jean Claude Aubry. Il y règne une atmosphère d'exigence, d'énergie tournée vers la satisfaction et le bien-être des clientes. Mais c'est aussi un environnement très stimulant ! C'est dans ce contexte-là que j'y fais mes classes, où je participe à tous les évènements, trainings pour me perfectionner encore et encore… Je suis une vraie boulimique, et je fini par me faire remarquer. C'est ainsi que j'accède à des formations de communications, de management, mais c'est l'artistique qui me fait vibrer ! Je gravis petit à petit tous les échelons jusqu'à devenir Directrice Artistique du groupe.
La rencontre avec Mr Aubry est un grand virage dans ma vie, il me donne l'opportunité de me réaliser. Il rêve pour moi de choses extraordinaires, parce qu'il m'en pensait capable, bien plus que moi… Mon parcours je le fais au fur à mesure, projet après projet… ce n'est quand faisant une rétrospective que je regarde et je me dis " ah oui quand même" !
Quels conseils pourriez-vous transmettre aux femmes futures qui veulent entreprendre des projets ou être futur cheffes d’entreprises
5 -Je leur dirais d'aller au bout de leurs rêves, je leur dirais que tout n'est pas possible mais que beaucoup de choses le sont. Qu'il ne faut pas sacrifier ou abandonner ses rêves, justement ce mot "rêve" j'aimerais m'y arrêter. J'ai l'impression que lorsque l'on devient adulte c'est un mot que l'on met un peu de côté, alors qu'il a tellement d'importance, qu'il rend la vie tellement plus magique, tellement plus belle. Alors continuez à rêver, en grand !
Et à garder la tête très haute, pour ne rater aucune des opportunités qui se présenteront à elles. Qu'à ce moment-là il faut se donner sans compter, qu'il faut être généreux dans son engagement, que ça fini par payer.
Votre parcours et passionnant que gardiez-vous de beau ?
6 -La première image qui me vient en tête c'est celle du regard de mes parents, fier et heureux de ce que j'ai accompli, fière de la femme que je suis devenu.
C'est aussi d'avoir été l'une des rares femmes d'origines maghrébine à avoir dans notre profession fait la salle du Zénith à Paris, du Carrousel du Louvre, du Palais des Congrès et bien d'autres…
Est-ce que votre pays natal vous manque-t-il ?
7-Oui mon pays me manque beaucoup, j'y aime sa douceur de vivre, la joie et le sourire des gens qui l'habitent, ses paysages….
Fès est une ville de lumières et de savant qu’est qui vous manque le plus de cette belle ville ?
8 – Ce qui me manque le plus c'est mes balades la nuit dans les ruelles de la médina de Fez, d'y déambuler un peu au hasard et d'y découvrir encore des merveilles.
Qu’est-ce qui vous émut chez une femme aujourd’hui ?
9 – Ce qui m'émeut encore souvent chez les femmes c'est leur courage. Beaucoup de choses reposent sur leurs épaules, elles doivent être sur tous les fronts, et même si par moments elles faiblissent elles se relèvent pour mieux repartir. C'est peut-être parce que nous portons la vie que cela nous donne quelque chose de supplémentaire…
Quels messages adressez-vous aux femmes Maghrébines amazighs algériennes marocaines et tunisiennes ?
10– J’aimerais leur dire que notre culture, nos racines c'est aussi notre force.
Merci à tous, clients et amis présents à cette occasion, ce fut une très belle soirée conviviale et chaleureuse.et pour cette
Echappée Onirique
Un spécial remerciement au talentueux et brillantissime photographe et Vidéo
Mr Tran-Phat
Article de notre – Mme Nadia / K-
Hyndia sur les traces artistiques de sa mère Nahema